Danse, frotte la poussière, lave le trottoir de tes pieds, une caresse sur le sol.
Buenos Aires battu par le mistral, la nuit noire partout pareil, ici ou ailleurs, et l’attente du soir. Les lumières, le miroir de la ville à ta peau accrochée, tu danses, Milonguera, ta jeunesse et le sang danse dans tes veines.












